Dan Gertler fustige la propension à la diffamation et au manque de transparence des Ongs CNPAV, The Sentry et leurs soutiens
Pour un recadrage, c’en est un. Sur un ton offensif mais correct, Dan Gertler a répondu vendredi 17 mars courant à une correspondance des ONGs The Sentry, CNPAV et leurs partenaires, mettant en lumière leur manie, très portée sur l’absence de transparence et la diffamation. Des Ongs qui font tout le contraire de ce qu’elles professent matin midi soir.
«L’objectif de mes lettres précédentes était clair pour vous. En dépit des nombreuses années de votre plaidoyer contre moi et mes intérêts commerciaux, je vous ai invité à une table ronde afin que je puisse partager avec vous, sur une base transparente et collaborative, tous les documents, matériels et calculs que vous pourriez souhaiter voir concernant mes activités commerciales en RDC», écrit-il. Aussi invraisemblable que cela puisse paraître, le richissime homme d’affaires israélien l’occasion tant rêvée de plonger dans ses transactions passées en toute transparence et confiance.
Curieusement, The Sentry, CNPAV et autres ont refusé de saisir cette opportunité que leur a offerte l’homme d’affaires. Malgré cela , Dan Gertler fait bon coeur contre mauvaise fortune et fait savoir à ses interlocuteurs que son offre était vraie, sincère, sans aucun préalable et reste ouverte.
Ce n’est pas tout. Dan Gertler assure, qu’il n’a jamais cherché à empêché le travail de la Société civile, en dépit du fait qu’il a régulièrement même rejeté dans le passé les affirmations grotesques de certaines ONGs.
Dan Gertler fait remarquer à ceux qui le diabolisent ainsi que le non respect de la loi vis-à-vis de sa personne. leur propension à la diffamation. «En effet, contrairement à votre position, la majorité des groupes de la société civile en RDC soutiennent aujourd’hui le règlement. Tout en soutenant généralement le travail de la société civile, on ne peut pas attendre de moi que j’encourage ou que je défende la liberté d’expression sous le couvert d’une société civile qui est diffamatoire à mon égard et à mon détriment personnel immédiat et qui, à l’occasion, a enfreint la loi», écrit-il.
S’agissant des actifs que sa firme « restituera », selon le consortium d’ ONGs, Dan Geetler leur répond : «Veuillez noter que tous les actifs ont été restitués rapidement après la signature du règlement. Le processus de transfert, y compris toutes les données relatives aux actifs et tous les matériels et logiciels nécessaires à l’utilisation de ces données, a été effectué au cours des mois de mars et avril 2022».
Il ne s’arrête pas là, précisant qu’un expert international indépendant de niveau 1 a procédé à l’évaluation des actifs restitués, ce qui permet aux ONGs de comprendre que la valeur estimée de 2 milliards de dollars d’actifs et de liquidités restitués à la RDC est une estimation prudente.
Dan Gertler fait remarquer également que le montant des coûts perdus que la RDC doit rembourser à Ventora a été vérifié et audité par la RDC et peut être entièrement étayé par des preuves documentaires. Cette somme n’a pas encore été payée par la RDC bien qu’elle ait reçu les actifs il y a près de 12 mois.
«Avec le rapport d’évaluation de niveau 1 mentionné ci-dessus, il s’agit d’un exemple de documents dont vous aurez connaissance lors de la table ronde à laquelle je vous ai invité», promet-il, confirmant, une fois de plus, que ni lui, ni aucune société du groupe Ventora, ni aucune personne ou entité liée à sa personne ou dans laquelle sa famille et lui sont bénéficiaires, n’ont d’intérêt dans aucun actif, permis, licence ou projet minier ou de ressources naturelles en RDC, à l’exception des trois redevances passives restantes dont la Société civile a déjà eu connaissance.
Avec recul, nombre d’observateurs estiment les Ongs qui ont à redire sur l’Accord conclu avec le Gouvernement devraient l’offre que leur a faite l’homme d’affaires israélien. Tout à leur honneur de lever tout équivoque et globalement montrer leur combat ne vise pas à raconter des mensonges sur Dan Gertler et son groupe. Lire, ci-dessous, l’intégralité de la correspondance de Dan Gertler écrite en anglais.
